LE CHOCOLAT

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L' épopée du chocolat.

Des fève au chocolat: une savante transformation.

Vices et vertus du chocolat.

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Vices et vertus du chocolat.

      Les Aztéques considéraient le chocolat comme un aphrodisiaque et un stimulant. Les missionnaires qui accompagnaient les conquitadores pensaient que la boisson au cacao pouvait conduire au péché de chair mais n'enivrait pas.

Les courtisanes -Madame de Maintenon et Madame de Pompadour entre autres- en faisaient une large consommation pour leurs amants et pour elles-même.

Le chocolat était le stimulant préféré de Casanova.

Le Marquis de Sade, quant à lui, ajoutait au chocolat un autre aphrodisiaque: la poudre de cantharide.

Depuis le XVIIème siècle, les médecins et botanistes pensent que le chocolat contient des substances bénéfiques. Il est considéré comme aidant à la digestion.

Louis Lemery dans son Traité des aliments (1702) que le chocolat a des propriétés stimulantes propres à "exciter les ardeurs de Vénus".

Le chocolat contient de la théobromine et de la caféine qui lui conférent des propriétés dynamisantes mais rien ne prouve cependant que les composants du chocolat soient des stimulants sexuels.

Au XXéme siècle, on affuble plutôt le chocolat de nombreux vices:

il donnerait de l'acnée, des caries, des migraines et surtout ferait grossir.  Pourtant, le cacao -qui ne contient pas de cholestérol- ne fait pas grossir. Ce sont le sucre, le beurre de cacao et éventuellement le lait qui lui sont ajoutés qui sont caloriques.

Et selon une récente étude, le chocolat contiendrait même des composants qui préviendraient la carie dentaire...

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